André Derain-Les Deux Péniches-1906
Ma famille et moi étions nomades. Nous déménagions à chaque saison, pour à chaque fois découvrir un nouveau paysage, de nouvelles personnes, une nouvelle vie...
J'aimais cette sensation de liberté. Nous nous déplacions en pyrogue. C'était un moyen de transport pratique et très populaire surtout dans nos régions réputées pour être très humides.
Un jour, vers la mi-juin, nous étions en pleine recherche d'un endroit, d'un village pour monter notre maison flottante. Nos cousins étaient venus avec nous cette saison. Ça promettait d'être un été inoubliable.
Soudain, après avoir passé un des innombrables méandres du fleuve sur lequel nous naviguions depuis déjà quelques jours, nous aperçûmes un village de pêcheurs. Mon père, un homme grand et costaud débarqua sur le ponton et déchargea l'embarcation.
Ensuite, il se mit à la recherche du chef du hameau.
Rien, plus personne, le village était désert...
Charles Delforge
3B
J'aimais cette sensation de liberté. Nous nous déplacions en pyrogue. C'était un moyen de transport pratique et très populaire surtout dans nos régions réputées pour être très humides.
Un jour, vers la mi-juin, nous étions en pleine recherche d'un endroit, d'un village pour monter notre maison flottante. Nos cousins étaient venus avec nous cette saison. Ça promettait d'être un été inoubliable.
Soudain, après avoir passé un des innombrables méandres du fleuve sur lequel nous naviguions depuis déjà quelques jours, nous aperçûmes un village de pêcheurs. Mon père, un homme grand et costaud débarqua sur le ponton et déchargea l'embarcation.
Ensuite, il se mit à la recherche du chef du hameau.
Rien, plus personne, le village était désert...
Charles Delforge
3B
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